Ce que nous avons cherché à faire ici, c'est de rappeler quelques éléments de fond, qui dans le cadre de la conjoncture de QS, nous semblent incontournables; en tout état de cause, objets d'une indispensable et urgente réflexion collective.
Or, dans le contexte préélectoral qui s’annonce, nous savons que l’espace politique pour mener une telle réflexion en profondeur au sein des instances politiques de notre parti va demeurer limité. Élaboration de la plate-forme, mise sur pied de nos comités électoraux, formation à nos argumentaires, tout cela prend un temps exigeant pour nous préparer aux élections de 2018 et espérer faire des percées importantes.
C’est pourquoi nous croyons qu’il serait sage de mettre à l’ordre du jour de notre parti un congrès d’orientation après les prochaines élections. Celui-ci pourrait s’inspirer des constats et questions du comité ad hoc sur la « vie démocratique interne » en mai 2016, et qui devaient mener à une vaste consultation. Dans le contexte d’un mauvais « timing » où nos instances étaient déjà trop occupées, cela n’a pas abouti.
Néanmoins, plusieurs des questions soulevées par ce comité recoupent les préoccupations développées ici, et méritent qu’on leur apporte une réponse, collectivement. Jumelé à un cycle de formations sur les expériences d’autres partis de gauche dans le monde, récentes et passées, et celles des gauches au pouvoir, cela pourrait déboucher sur d’importantes réflexions et propositions pour orienter le développement de notre parti.
Or, dans le contexte préélectoral qui s’annonce, nous savons que l’espace politique pour mener une telle réflexion en profondeur au sein des instances politiques de notre parti va demeurer limité. Élaboration de la plate-forme, mise sur pied de nos comités électoraux, formation à nos argumentaires, tout cela prend un temps exigeant pour nous préparer aux élections de 2018 et espérer faire des percées importantes.
C’est pourquoi nous croyons qu’il serait sage de mettre à l’ordre du jour de notre parti un congrès d’orientation après les prochaines élections. Celui-ci pourrait s’inspirer des constats et questions du comité ad hoc sur la « vie démocratique interne » en mai 2016, et qui devaient mener à une vaste consultation. Dans le contexte d’un mauvais « timing » où nos instances étaient déjà trop occupées, cela n’a pas abouti.
Néanmoins, plusieurs des questions soulevées par ce comité recoupent les préoccupations développées ici, et méritent qu’on leur apporte une réponse, collectivement. Jumelé à un cycle de formations sur les expériences d’autres partis de gauche dans le monde, récentes et passées, et celles des gauches au pouvoir, cela pourrait déboucher sur d’importantes réflexions et propositions pour orienter le développement de notre parti.
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